Ce n'est pas comme cela que ça se passe ya djamaâ, l'affaire ne relève plus du disciplinaire, on est dans le pénal et dans ce cas c'est à la justice seule de trancher sans qu'elle soit influencée par qui que se soit. Et la justice doit entendre les deux parties.
Concernant maintenant l'action à entreprendre à l'encontre de la violence en général vis à vis des enseignants toute action est la bienvenue à condition qu'elle ne soit pas dirigée contre ce lycéen qui a fauté: on n'aimerait pas stigmatiser quelqu'un et le pousser, Allah yebli wi kaddar au suicide, et si cela arrive on l'aura tous sur la conscience, donc c'est absolument à éviter s'il vous plait.
Bon rétablissement à notre cher enseignant (salamatek ya oustadh wa chifa adjel inchallah) et nous l'implorons de faire en sorte que c'est l'un de ses enfants qui l'a frappé, wal moussamah karim !
A la place de cet élève, à la fois en tant que cadre de l'éducation nationale et parent d'élève, je présente tous mes regrets et excuses à notre cher collègue enseignant.